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Titre : Son propre maître
Auteur :
malurette
Base : Naruto
Personnages : Manda, Orochimaru
Genre : gen-ish
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Kishimoto Masashi, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Notes : j'ai arrêté de lire la série il y a une paire d'années ; faisons comme si le canon s'arrêtait juste avec l'ellipse temporelle, OK ?
Thème : o6#o8, « Jamais » pour
10_choix
Nombre de mots : 330
**
Jamais Manda n’obéira à un humain. Un pacte peut le lier, mais seulement s’il accepte de le contracter. S’il en rencontre un suffisamment fort et ambitieux pour titiller sa curiosité et lui donner envie de le suivre. Si apparaître à ses côtés dans le monde des humains promet d’être divertissant.
Il refusera d’avouer que s’il se trouve lié par un pacte, c’est que l’humain en question se sera montré suffisamment fort et inventif pour le battre. Que malgré cette force supérieure, cet humain ait encore besoin de son aide, ça le flatte. Pourtant, il refuse d’être utilisé comme un outil.
Ce pacte est une association et ne sera jamais une servitude. Si Manda accepte de collaborer avec Orochimaru, ça n’est que temporaire. À la mort de cet homme, Manda reprendra sa liberté. Que d’autres serpents de son clan se laissent lier, ça n’est pas son problème. Et lui-même n’éprouve aucune loyauté envers la faction d’Orochimaru.
Le pacte est toujours unique. Parce que sa durée de vie naturelle est tellement supérieure à celle des humains, Manda en a contracté un certain nombre déjà et n’exclut pas de recommencer plus tard… peut-être. Selon les circonstances. Mais jamais il ne se laissera transmettre à un disciple d’un de ses collaborateurs temporaires.
À chacun s’il le souhaite, la responsabilité de le contacter, de l’affronter et de tenter de le convaincre…
Et jamais non plus ne reconnaîtra-t-il que peut-être, juste peut-être, il prend vaguement goût à ses associations et aux idées cruelles que les humains peuvent inventer pour faire du mal à leurs semblables et gagner son intérêt au passage. Ça devient presque un jeu, de voire quels talents ils peuvent déployer pour s’assurer de sa coopération…
Jusqu’où iront les candidats au pacte pour accéder à ses requêtes, volontairement cruelles ?
Manda n’en a encore jamais rencontré qu’il considère lui-même comme définitivement monstrueux. Sans doute parce que lui-même, à force, a déplacé toutes les limites. Puisqu’il lui faut rester le maître dans chaque relation !
Auteur :
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Personnages : Manda, Orochimaru
Genre : gen-ish
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Kishimoto Masashi, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Notes : j'ai arrêté de lire la série il y a une paire d'années ; faisons comme si le canon s'arrêtait juste avec l'ellipse temporelle, OK ?
Thème : o6#o8, « Jamais » pour
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Nombre de mots : 330
Jamais Manda n’obéira à un humain. Un pacte peut le lier, mais seulement s’il accepte de le contracter. S’il en rencontre un suffisamment fort et ambitieux pour titiller sa curiosité et lui donner envie de le suivre. Si apparaître à ses côtés dans le monde des humains promet d’être divertissant.
Il refusera d’avouer que s’il se trouve lié par un pacte, c’est que l’humain en question se sera montré suffisamment fort et inventif pour le battre. Que malgré cette force supérieure, cet humain ait encore besoin de son aide, ça le flatte. Pourtant, il refuse d’être utilisé comme un outil.
Ce pacte est une association et ne sera jamais une servitude. Si Manda accepte de collaborer avec Orochimaru, ça n’est que temporaire. À la mort de cet homme, Manda reprendra sa liberté. Que d’autres serpents de son clan se laissent lier, ça n’est pas son problème. Et lui-même n’éprouve aucune loyauté envers la faction d’Orochimaru.
Le pacte est toujours unique. Parce que sa durée de vie naturelle est tellement supérieure à celle des humains, Manda en a contracté un certain nombre déjà et n’exclut pas de recommencer plus tard… peut-être. Selon les circonstances. Mais jamais il ne se laissera transmettre à un disciple d’un de ses collaborateurs temporaires.
À chacun s’il le souhaite, la responsabilité de le contacter, de l’affronter et de tenter de le convaincre…
Et jamais non plus ne reconnaîtra-t-il que peut-être, juste peut-être, il prend vaguement goût à ses associations et aux idées cruelles que les humains peuvent inventer pour faire du mal à leurs semblables et gagner son intérêt au passage. Ça devient presque un jeu, de voire quels talents ils peuvent déployer pour s’assurer de sa coopération…
Jusqu’où iront les candidats au pacte pour accéder à ses requêtes, volontairement cruelles ?
Manda n’en a encore jamais rencontré qu’il considère lui-même comme définitivement monstrueux. Sans doute parce que lui-même, à force, a déplacé toutes les limites. Puisqu’il lui faut rester le maître dans chaque relation !