ext_130622 (
ylg.livejournal.com) wrote in
glyfic2011-01-14 11:43 am
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[repimp] Bleach – Isane – PG | Je m'abstiendrai de tout mal
Titre : Je m'abstiendrai de tout mal
Auteur :
ylg
Base : Bleach
Personnages/Couple : Kotetsu Isane, la Quatrième Division, la Onzième Division, indices timides d'Isane/Retsu
Genre : gen-ish
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Kubo Tite, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème : « Je m'abstiendrai de tout mal », comme que je l'avais déjà demandé à quelqu'un d'autre – jai oublié qui – une fois lors d'un mème à drabbles et que j'ai voulu essayer de traiter moi aussi
Prompt : pour la Journée internationale du Femslash (mi-juillet), édition '08
Nombre de mots : 300
**
Le premier commandement que doit respecter un soignant, a expliqué Retsu-sama à Isane, c'est de ne pas faire plus de mal à son patient qu'il n'en a déjà reçu avant qu'on ne le prenne en charge. Ne rien faire qui aggrave son état, ne pas lui nuire volontairement.
Pourquoi on voudrait s'en prendre à un blessé ou un malade, voilà qui dépassait Isane ; elle s'est contentée d'acquiescer en silence. Tout ce que pouvait lui dire sa Capitaine lui était utile un jour où l'autre et elle l'écoutait respectueusement.
Le jour où suite à l'invasion de ryōka et la trahison d'Aizen il leur fallut soigner un nombre impressionnant de Onzième Division en même temps, cela prit tout à coup tout son sens. Cette bande de rustres menait la vie dure aux malheureux soignants qui en avaient la charge. Devant leur conduite odieuse, Isane aurait voulu les mettre à la porte, et à coups de pieds dans le derrière, avant leur complète guérison, elle s'est surprise à vouloir serrer leurs bandages beaucoup plus que néessaire ou se tromper exprès dans le dosage de leurs médications. Mais si elle faisait cela, réalisa-t-elle, elle ne vaudrait pas mieux que ces brutes ingrates qui piétinait la Quatrième Division malgré tout ce qu'ils faisaient pour eux. Quand même, se tourmentait-elle, avec eux ça n'était plus juste de la conscience professionnelle et l'abnégation, ça frisait la stupidité, voire le masochisme... quel dilemme !
Une fois de plus, le Capitaine Unohana régla le problème, en se contentant d'effrayer les Onzième Division récalcitrants par une simple remarque. Ça n'était sans doute justement pas très éthique comme manière de traiter ses patients, mais efficace pour tout le monde : plus besoin de leur faire du mal s'il ont assez peur pour enfin se tenir tranquilles, n'est-ce pas ?
Auteur :
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Base : Bleach
Personnages/Couple : Kotetsu Isane, la Quatrième Division, la Onzième Division, indices timides d'Isane/Retsu
Genre : gen-ish
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Kubo Tite, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Thème : « Je m'abstiendrai de tout mal », comme que je l'avais déjà demandé à quelqu'un d'autre – jai oublié qui – une fois lors d'un mème à drabbles et que j'ai voulu essayer de traiter moi aussi
Prompt : pour la Journée internationale du Femslash (mi-juillet), édition '08
Nombre de mots : 300
Le premier commandement que doit respecter un soignant, a expliqué Retsu-sama à Isane, c'est de ne pas faire plus de mal à son patient qu'il n'en a déjà reçu avant qu'on ne le prenne en charge. Ne rien faire qui aggrave son état, ne pas lui nuire volontairement.
Pourquoi on voudrait s'en prendre à un blessé ou un malade, voilà qui dépassait Isane ; elle s'est contentée d'acquiescer en silence. Tout ce que pouvait lui dire sa Capitaine lui était utile un jour où l'autre et elle l'écoutait respectueusement.
Le jour où suite à l'invasion de ryōka et la trahison d'Aizen il leur fallut soigner un nombre impressionnant de Onzième Division en même temps, cela prit tout à coup tout son sens. Cette bande de rustres menait la vie dure aux malheureux soignants qui en avaient la charge. Devant leur conduite odieuse, Isane aurait voulu les mettre à la porte, et à coups de pieds dans le derrière, avant leur complète guérison, elle s'est surprise à vouloir serrer leurs bandages beaucoup plus que néessaire ou se tromper exprès dans le dosage de leurs médications. Mais si elle faisait cela, réalisa-t-elle, elle ne vaudrait pas mieux que ces brutes ingrates qui piétinait la Quatrième Division malgré tout ce qu'ils faisaient pour eux. Quand même, se tourmentait-elle, avec eux ça n'était plus juste de la conscience professionnelle et l'abnégation, ça frisait la stupidité, voire le masochisme... quel dilemme !
Une fois de plus, le Capitaine Unohana régla le problème, en se contentant d'effrayer les Onzième Division récalcitrants par une simple remarque. Ça n'était sans doute justement pas très éthique comme manière de traiter ses patients, mais efficace pour tout le monde : plus besoin de leur faire du mal s'il ont assez peur pour enfin se tenir tranquilles, n'est-ce pas ?