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malurette posting in ![[community profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/community.png){kind=small}
glyficTitre : Comme ses formes se transforment
Auteur :malurette
Base : Spirou et Fantasio
Couple(s) : Astrid/Lena, mention de Zorglub, Champignac, Spirou & Fantasio
Genre : amoureux/pré famille
Gradation : PG~ / K++
Légalité : ces deux personnages sont la propriété de Vehlmann et Yoan, je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème : « shapeshifting » pourladiesbingo
Note : deuxième version, après avoir éliminé Papyrus de la grille
Continuité/Spoil éventuel : quelques années après Alerte aux Zorkons et La face cachée du Z ;
suite possible à ma mini-série [1] [2] [3] [4] [5]
Nombre de mots : ~650
***
L’étape suivante une fois leurs thèses respectives passées, tous leurs diplômes obtenus, leur start up lancée et leur mariage officiel, leur vie étant définitivement sur les rails de la réussite, c’est de se demander,
« Et si on faisait un enfant ? »
Maintenant ça n’est plus une idée si folle. C’est un développement logique. Reste à décider qui des deux le portera ?
Lena veut bien. Astrid se voit parent, mais pas porteuse. Elle est d’accord pour adopter aussi, mais pourquoi pas vivre entièrement cette aventure, gestation comprise ? Il leur faut juste trouver un donneur. Qui ne sera pas Zorglub ! malgré s’être proposé autrefois sur la Lune… et pas Champignac non plus, car le cher homme est trop âgé et si elles admirent toutes les qualités de son cerveau et sa robustesse perdurant dans son grand âge, elles doutent quand même de la conservation de sa lignée germinale. Elles plaisantent avec l’idée d’appeler Spirou et Fantasio qui physiquement ressemblent un peu à leurs petits frères respectifs, et de faire ça mutuellement. Mais c’est juste de la blague. Ça fait plusieurs années qu’elles ne les ont plus revus et elles ne vont pas reprendre contact avec eux pour ça. (En plus, suggère Astrid, que feront-elles si entretemps ils voulaient aussi faire un enfant ensemble et qu’ils allaient s’imaginer qu’elles s’offraient généreusement comme mères porteuses, hein ? Même si les chances sont faibles, pas question de lancer un tel quiproquo.)
À la place elle font le tour d’anciens camarades de promo, et finalement se décident pour un donneur anonyme sélectionné par la banque : ça sera aussi bien!
Ensuite, il leur faut beaucoup de patience pour affronter les procédure administratives et les délais d’attente. Puis vient enfin l’acte, et hop, coup de chance, ça marche du premier coup !
Les analyses de sang et l’imagerie trop floue restant abstraites pour elles qui ont toujours préféré des sciences plus dures, elles guettent plutôt les changements physiques. Le développement est progressif et si lent…
Lena avait déjà de beaux seins avant ; ils s’épanouissent encore plus, au grand émerveillement d’Astrid. La courbe d’abord discrète du ventre se fait peu à peu plus rebondie. Et puis il y a toujours les effets secondaires qu’elles cataloguent. Certains sont plaisants : la peau, les cheveux et les ongles qui resplendissent de santé. D’autres sont sont juste surprenant : les couleurs qui s’intensifient sur les mamelons et le chemin du paradis. Enfin il y a de simplement désagréables : le visage bouffi, les mains et les chevilles enflées, avec lesquels il faut bien faire. Astrid les masse avec tendresse.
Elle explore chaque jour, chaque nuit les nouvelles courbes de Lena, se demandant régulièrement depuis combien de temps tel ou tel trait a changé comme ça ?
Elles ne remarquent pas toutes les choses au même rythme et comparent leur ressenti. Lena vit les changements dans sa propre chair, Astrid sous ses mains.
Elles font toujours l’amour régulièrement ; la grosses ne change pas leurs appétits, mais modifie un peu les gestes qu’elles ont.
Le miracle de l’amour se double de celui d’une vie qui se transforme, traduit par un corps qui change. Elles en seront les témoins, de longs longs mois durant, avant que grand chambardement se fasse pour de bon. La métamorphose se fait petit à petit, leur laissant le temps de s’y faire.
Elles vont devenir mères dans quelques mois, il faudra qu’elles sachent rester épouses. Elles seront toujours un couple en plus d’être parents. En tout cas, elles n’en sont pas encore là, et tant que le bébé n’est pas né, elles comptent bien profiter de ce qu’elles ont comme de ce qui s’annoncent.
Tant qu’elles ont le temps, elles explorent à fond chaque petit changement dans les formes de plus en plus épanouies de Lena, et dans leur état d’esprit à toutes deux.
Auteur :
maluretteBase : Spirou et Fantasio
Couple(s) : Astrid/Lena, mention de Zorglub, Champignac, Spirou & Fantasio
Genre : amoureux/pré famille
Gradation : PG~ / K++
Légalité : ces deux personnages sont la propriété de Vehlmann et Yoan, je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème : « shapeshifting » pour
ladiesbingoNote : deuxième version, après avoir éliminé Papyrus de la grille
Continuité/Spoil éventuel : quelques années après Alerte aux Zorkons et La face cachée du Z ;
suite possible à ma mini-série [1] [2] [3] [4] [5]
Nombre de mots : ~650
L’étape suivante une fois leurs thèses respectives passées, tous leurs diplômes obtenus, leur start up lancée et leur mariage officiel, leur vie étant définitivement sur les rails de la réussite, c’est de se demander,
« Et si on faisait un enfant ? »
Maintenant ça n’est plus une idée si folle. C’est un développement logique. Reste à décider qui des deux le portera ?
Lena veut bien. Astrid se voit parent, mais pas porteuse. Elle est d’accord pour adopter aussi, mais pourquoi pas vivre entièrement cette aventure, gestation comprise ? Il leur faut juste trouver un donneur. Qui ne sera pas Zorglub ! malgré s’être proposé autrefois sur la Lune… et pas Champignac non plus, car le cher homme est trop âgé et si elles admirent toutes les qualités de son cerveau et sa robustesse perdurant dans son grand âge, elles doutent quand même de la conservation de sa lignée germinale. Elles plaisantent avec l’idée d’appeler Spirou et Fantasio qui physiquement ressemblent un peu à leurs petits frères respectifs, et de faire ça mutuellement. Mais c’est juste de la blague. Ça fait plusieurs années qu’elles ne les ont plus revus et elles ne vont pas reprendre contact avec eux pour ça. (En plus, suggère Astrid, que feront-elles si entretemps ils voulaient aussi faire un enfant ensemble et qu’ils allaient s’imaginer qu’elles s’offraient généreusement comme mères porteuses, hein ? Même si les chances sont faibles, pas question de lancer un tel quiproquo.)
À la place elle font le tour d’anciens camarades de promo, et finalement se décident pour un donneur anonyme sélectionné par la banque : ça sera aussi bien!
Ensuite, il leur faut beaucoup de patience pour affronter les procédure administratives et les délais d’attente. Puis vient enfin l’acte, et hop, coup de chance, ça marche du premier coup !
Les analyses de sang et l’imagerie trop floue restant abstraites pour elles qui ont toujours préféré des sciences plus dures, elles guettent plutôt les changements physiques. Le développement est progressif et si lent…
Lena avait déjà de beaux seins avant ; ils s’épanouissent encore plus, au grand émerveillement d’Astrid. La courbe d’abord discrète du ventre se fait peu à peu plus rebondie. Et puis il y a toujours les effets secondaires qu’elles cataloguent. Certains sont plaisants : la peau, les cheveux et les ongles qui resplendissent de santé. D’autres sont sont juste surprenant : les couleurs qui s’intensifient sur les mamelons et le chemin du paradis. Enfin il y a de simplement désagréables : le visage bouffi, les mains et les chevilles enflées, avec lesquels il faut bien faire. Astrid les masse avec tendresse.
Elle explore chaque jour, chaque nuit les nouvelles courbes de Lena, se demandant régulièrement depuis combien de temps tel ou tel trait a changé comme ça ?
Elles ne remarquent pas toutes les choses au même rythme et comparent leur ressenti. Lena vit les changements dans sa propre chair, Astrid sous ses mains.
Elles font toujours l’amour régulièrement ; la grosses ne change pas leurs appétits, mais modifie un peu les gestes qu’elles ont.
Le miracle de l’amour se double de celui d’une vie qui se transforme, traduit par un corps qui change. Elles en seront les témoins, de longs longs mois durant, avant que grand chambardement se fasse pour de bon. La métamorphose se fait petit à petit, leur laissant le temps de s’y faire.
Elles vont devenir mères dans quelques mois, il faudra qu’elles sachent rester épouses. Elles seront toujours un couple en plus d’être parents. En tout cas, elles n’en sont pas encore là, et tant que le bébé n’est pas né, elles comptent bien profiter de ce qu’elles ont comme de ce qui s’annoncent.
Tant qu’elles ont le temps, elles explorent à fond chaque petit changement dans les formes de plus en plus épanouies de Lena, et dans leur état d’esprit à toutes deux.
