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glyficTitre : Deux petits cœurs
Auteur :malurette
Base : When Marnie was there
Personnages/Couple : Anna & Marnie
Genre : doux-amer
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété du studio Ghibli, d'après Joan G. Robinson ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème 2#2, « Amour »pour5_sens
Note : je n'ai pas encore lu le livre, je me base sur le film
Avertissements : inhérents au couple
Nombre de mots : 300
**
Anna et Marnie se sont trouvées, par chance. Elles étaient deux enfants perdues abandonnées par leurs parents dans un monde où elles ne trouvaient pas leur place et pas encore capables de devenir adultes. Malgré les différences dans leurs histoires, leurs souffrances respectives, et leur soif identique d’être acceptées les rapprochèrent.
Rapidement, elles se sentirent comme deux sœurs, deux amies, et plus encore. Leurs deux petits cœurs battaient à l’unisson, leurs mains qui se cherchaient se trouvèrent et et ne voulurent plus se lâcher. Leurs deux regards bleus, un limpide, un profond, se troublaient en se fondant l’un dans l’autre. Elles ne seraient plus jamais seules désormais, plus jamais effrayées ni par le présent, ni par l’avenir ! …ni même pas par ce qu’elles ressentaient de tout nouveau, d’inconnu… mais de si doux et formidable. L’amour se présentait pour elles comme rempart à tout.
Pouvoir se dire enfin,
« J’ai une amie, »
sans oser poser plus de mots sur leur relation, les réconfortait.
Une amie qui ne se souciait pas de savoir d’où venait l’autre et de si ça pouvait être d’une quelconque sa faute si avant, elle n’avait pas eu d’autre amie. Une amie qui la prenait telle qu’elle était sans juger d’un quelconque mérite. Une amie qui l’aimait et donc la valorisait, et qu’elle aimait en retour et la rendait ainsi plus heureuse et encore meilleure.
Une amie enfin, qui ne se souciait pas de savoir si oui ou non elle était là pour de vrai : leur affection était réelle.
Marnie et Anna, enfin, pouvaient dire, intérieurement,
« J’existe pour elle.
J’existe avec elle.
J’existe ! »
se le répéter à haute voix, en secret.
Et conclure, en se retrouvant,
« Je suis heureuse d’être avec toi. Je voudrais que rien ne nous sépare. Tu seras dans mon cœur pour toujours. »
Auteur :
maluretteBase : When Marnie was there
Personnages/Couple : Anna & Marnie
Genre : doux-amer
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété du studio Ghibli, d'après Joan G. Robinson ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème 2#2, « Amour »pour
5_sensNote : je n'ai pas encore lu le livre, je me base sur le film
Avertissements : inhérents au couple
Nombre de mots : 300
Anna et Marnie se sont trouvées, par chance. Elles étaient deux enfants perdues abandonnées par leurs parents dans un monde où elles ne trouvaient pas leur place et pas encore capables de devenir adultes. Malgré les différences dans leurs histoires, leurs souffrances respectives, et leur soif identique d’être acceptées les rapprochèrent.
Rapidement, elles se sentirent comme deux sœurs, deux amies, et plus encore. Leurs deux petits cœurs battaient à l’unisson, leurs mains qui se cherchaient se trouvèrent et et ne voulurent plus se lâcher. Leurs deux regards bleus, un limpide, un profond, se troublaient en se fondant l’un dans l’autre. Elles ne seraient plus jamais seules désormais, plus jamais effrayées ni par le présent, ni par l’avenir ! …ni même pas par ce qu’elles ressentaient de tout nouveau, d’inconnu… mais de si doux et formidable. L’amour se présentait pour elles comme rempart à tout.
Pouvoir se dire enfin,
« J’ai une amie, »
sans oser poser plus de mots sur leur relation, les réconfortait.
Une amie qui ne se souciait pas de savoir d’où venait l’autre et de si ça pouvait être d’une quelconque sa faute si avant, elle n’avait pas eu d’autre amie. Une amie qui la prenait telle qu’elle était sans juger d’un quelconque mérite. Une amie qui l’aimait et donc la valorisait, et qu’elle aimait en retour et la rendait ainsi plus heureuse et encore meilleure.
Une amie enfin, qui ne se souciait pas de savoir si oui ou non elle était là pour de vrai : leur affection était réelle.
Marnie et Anna, enfin, pouvaient dire, intérieurement,
« J’existe pour elle.
J’existe avec elle.
J’existe ! »
se le répéter à haute voix, en secret.
Et conclure, en se retrouvant,
« Je suis heureuse d’être avec toi. Je voudrais que rien ne nous sépare. Tu seras dans mon cœur pour toujours. »
