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Titre : Une planète où vivre
Auteur :
malurette
Base : Yoko Tsuno
Personnages/Couple : un vinéen/Yoko Tsuno
Genre :
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Roger Leloup, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : 5. la fin la plus heureuse selon moi
Nombre de mots : 200
*
Une relation longue distance à deux millions d’années-lumière, des temps de transfert de deux à trois mois, ça complique beaucoup les choses.
Yoko aime profondément Vinéa, mais reste trop attachée à sa Terre natale, à sa famille, à ses premiers amis, pour aller y émigrer définitivement. Cependant il faudra le temps d’une génération entière pour rapatrier sur Vinéa, petit à petit, toute la population hébergée en léthargie dans les entrailles de la Terre, et la coordination des opérations demande des équipes des deux côtés.
… alors un Vinéen amoureux de la Terre qui décide de se porter volontaire pour rester dans les bases sous-terraines, ça étonne un peu le monde, mais puisqu’on en a besoin, l’organisation accepte bien volontiers son sacrifice. Qui n’en sera pas un tant que leurs amis terriens viendront les y visiter souvent et servir de liaison avec l’extérieur quand par malchance les agissements inconsidérés populations autochtones envers leur propre planète menacent sans le savoir les réfugiés extraterrestres, ça n’en sera pas vraiment un.
D’autant qu’il n’a jamais su renoncer au rêve île volcanique, il parle même parfois d’île plastique. Il aimerait bien, utopiquement, pouvoir vivre au grand jour sur sa planète d’adoption avec celle qu’il aime.
Auteur :
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Base : Yoko Tsuno
Personnages/Couple : un vinéen/Yoko Tsuno
Genre :
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété de Roger Leloup, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : 5. la fin la plus heureuse selon moi
Nombre de mots : 200
Une relation longue distance à deux millions d’années-lumière, des temps de transfert de deux à trois mois, ça complique beaucoup les choses.
Yoko aime profondément Vinéa, mais reste trop attachée à sa Terre natale, à sa famille, à ses premiers amis, pour aller y émigrer définitivement. Cependant il faudra le temps d’une génération entière pour rapatrier sur Vinéa, petit à petit, toute la population hébergée en léthargie dans les entrailles de la Terre, et la coordination des opérations demande des équipes des deux côtés.
… alors un Vinéen amoureux de la Terre qui décide de se porter volontaire pour rester dans les bases sous-terraines, ça étonne un peu le monde, mais puisqu’on en a besoin, l’organisation accepte bien volontiers son sacrifice. Qui n’en sera pas un tant que leurs amis terriens viendront les y visiter souvent et servir de liaison avec l’extérieur quand par malchance les agissements inconsidérés populations autochtones envers leur propre planète menacent sans le savoir les réfugiés extraterrestres, ça n’en sera pas vraiment un.
D’autant qu’il n’a jamais su renoncer au rêve île volcanique, il parle même parfois d’île plastique. Il aimerait bien, utopiquement, pouvoir vivre au grand jour sur sa planète d’adoption avec celle qu’il aime.