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glyficTitre : Et elle a obéi
Auteur :malurette
Base : Tanakh/Premier Testament
Personnages/Couples : Bethsabée(\Urie, \David)
Genre : gen-ish
Gradation : PG+ / K++
Légalité : les personnages et leur histoire sont dans le domaine public
Thèmes : "goût / rire / directions" d'après![[livejournal.com profile]](https://www.dreamwidth.org/img/external/lj-community.gif)
5_sens
Continuité/Spoil éventuel : Livre de Samuel
Nombre de mots : 3 x 100
*
Bethsabée, femme du hittite Urie, aurait été bien en peine d’admettre avoir des goûts de luxe. Être l’épouse d’un étranger, ça vient toujours avec son bagage. Maintenant, que l’étranger soit malgré ou à cause de son origine un général en grande faveur auprès du Roi, ça ouvre bien des portes, ça vous pare à la cour et à la ville d’un grand prestige, peut-être juste un peu sulfureux.
Son mari parti à la guerre, le Roi prend pitié de sa solitude et s’assure qu’elle ne manque de rien. Il lui offre plus qu’elle n’aurait jamais rêvé, et éclipse son époux.
-
Il y eut des moments heureux, insouciants, où Urie n’existait plus, où la loi n’existait plus. Le Roi était au-dessus des hommes, ils pouvaient bien s’en moquer et ne se consacrer qu’à leurs plaisirs. Puisqu’ils étaient si contents l’un de l’autre, et que dans son ignorance, Urie ne pouvait pas se sentir blessé ?
Jusqu’à ce que les ébats portent leurs fruits. Plus que ce dont Urie avait été capable jusqu’ici…
David, paniqué, voulut s’arrêter là et la rendre à son mari… avec son petit cadeau – Bethsabée, rêvant déjà aux risettes de son futur enfant, n’arrivait pas se sentir coupable.
-
Urie tellement plus droit que David refusa tout traitement de faveur. Si ses hommes mourraient sur le champ de bataille à la gloire du roi, sa place était à leur tête, à les guider vers la victoire, non à profiter des douceurs de la vie.
À la croisée de deux destins, David décida d’user de son pouvoir pour sacrifier Urie. Il était le roi, il faisait ce qu’il voulait ! à Bethsabée de suivre. Il était trop tard pour infléchir le sens de sa vie. Courtisane parmi plusieurs autres reines, à espérer se consoler de la perte de son premier-né ?
Auteur :
maluretteBase : Tanakh/Premier Testament
Personnages/Couples : Bethsabée(\Urie, \David)
Genre : gen-ish
Gradation : PG+ / K++
Légalité : les personnages et leur histoire sont dans le domaine public
Thèmes : "goût / rire / directions" d'après
5_sensContinuité/Spoil éventuel : Livre de Samuel
Nombre de mots : 3 x 100
Bethsabée, femme du hittite Urie, aurait été bien en peine d’admettre avoir des goûts de luxe. Être l’épouse d’un étranger, ça vient toujours avec son bagage. Maintenant, que l’étranger soit malgré ou à cause de son origine un général en grande faveur auprès du Roi, ça ouvre bien des portes, ça vous pare à la cour et à la ville d’un grand prestige, peut-être juste un peu sulfureux.
Son mari parti à la guerre, le Roi prend pitié de sa solitude et s’assure qu’elle ne manque de rien. Il lui offre plus qu’elle n’aurait jamais rêvé, et éclipse son époux.
Il y eut des moments heureux, insouciants, où Urie n’existait plus, où la loi n’existait plus. Le Roi était au-dessus des hommes, ils pouvaient bien s’en moquer et ne se consacrer qu’à leurs plaisirs. Puisqu’ils étaient si contents l’un de l’autre, et que dans son ignorance, Urie ne pouvait pas se sentir blessé ?
Jusqu’à ce que les ébats portent leurs fruits. Plus que ce dont Urie avait été capable jusqu’ici…
David, paniqué, voulut s’arrêter là et la rendre à son mari… avec son petit cadeau – Bethsabée, rêvant déjà aux risettes de son futur enfant, n’arrivait pas se sentir coupable.
Urie tellement plus droit que David refusa tout traitement de faveur. Si ses hommes mourraient sur le champ de bataille à la gloire du roi, sa place était à leur tête, à les guider vers la victoire, non à profiter des douceurs de la vie.
À la croisée de deux destins, David décida d’user de son pouvoir pour sacrifier Urie. Il était le roi, il faisait ce qu’il voulait ! à Bethsabée de suivre. Il était trop tard pour infléchir le sens de sa vie. Courtisane parmi plusieurs autres reines, à espérer se consoler de la perte de son premier-né ?
