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Titre : À fleur de peau [12]
Auteur :
malurette
Base : Star Trek: Deep Space 9/Lower Decks
Couple : alter/holo!Julian Bashir & alter!Elim Garak
Genre :
Gradation : PG-13 / T
Légalité : propriété de Rodenberry, Berman, Piller, McMahan, etc ; je ne cherche ni à en tirer profit ni à manquer de respect.
https://glyfic.dreamwidth.org/2967515.html
Continuit/Spoil éventuel : LWD s5e9 !!
Nombre de mots : ~360
*
Et ils s’essaient à toutes la variations possibles de vulves, de cloaques, de pénis, d’hémipénis, ainsi que de crochets coïtaux et de ptérygopodes, de barbillons et encore d’autres organes qui n’ont pas de traduction exacte ; tous types de mouvements, le va-et-vient mammifère, la rotation reptilienne, la presse, les vibrations, l’attente immobile interminable et combien de combinaisons de diverses composantes…
Ils consignent très soigneusement leurs réactions, les sensations, sentiments, appréciations diverses qu’éprouve Garak, et l’opinion de Bashir sur l’intérêt visuel et tactile de tel ou tel équipement.
Il y a quelque chose qui tient au contrôle sous ces explorations.
Les sécrétions simulées produites avant, pendant et après l’acte s’évaporent dès que le contact est rompu avec le corps holographique qui les a générées. Il ne peut pas produire de phéromones et c’est quelque chose qui manque quand même à Garak – et pourtant il aime faire ça avec Bashir même sans elles ; même, la frustration qui l’accompagne et la concentration mentale supplémentaire nécessaire pour faire sans ont quelque chose de titillant, à leur propre manière.
Et ils ne peuvent pas imiter, même en grossière approximation, la fusion des Q par contact, mais ils peuvent toujours ajouter des jouets à leurs ébats !
L’hologramme jouit d’un excellent sens du goût et de l’odorat mais n’émet rien lui-même de ce type, et n’en tire pas grand plaisir non plus. Le sien vient plus du toucher et d’exploration approfondie.
Quand la surface de la peau ne suffit plus ils plongent plus profond encore. C’est, techniquement, de la vivisection consensuelle, négociée et contrôlée. Ah, encore le contrôle…
« Parce que tu es un excellent chirurgien mais même toi ne peux t’opérer toi-même en cas d’urgence ; s’il le fallait ça serait à moi de te rafistoler et pour le faire bien j’ai besoin d’en savoir un peu plus sur ton anatomie et ta physiologie. »
Alors Bashir ouvre et observe. Garak dirige et commente.
Quand ils ont fini leur chirurgie exploratoire du jour Bashir referme l’incision et y ajoute un bisou magique pour la forme.
Il n’a pas de salive, pas d’enzymes désinfectantes ou cicatrisantes et pas non plus de bactéries contaminantes mais l’effet placebo est toujours bon à prendre.
Auteur :
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Base : Star Trek: Deep Space 9/Lower Decks
Couple : alter/holo!Julian Bashir & alter!Elim Garak
Genre :
Gradation : PG-13 / T
Légalité : propriété de Rodenberry, Berman, Piller, McMahan, etc ; je ne cherche ni à en tirer profit ni à manquer de respect.
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Continuit/Spoil éventuel : LWD s5e9 !!
Nombre de mots : ~360
Et ils s’essaient à toutes la variations possibles de vulves, de cloaques, de pénis, d’hémipénis, ainsi que de crochets coïtaux et de ptérygopodes, de barbillons et encore d’autres organes qui n’ont pas de traduction exacte ; tous types de mouvements, le va-et-vient mammifère, la rotation reptilienne, la presse, les vibrations, l’attente immobile interminable et combien de combinaisons de diverses composantes…
Ils consignent très soigneusement leurs réactions, les sensations, sentiments, appréciations diverses qu’éprouve Garak, et l’opinion de Bashir sur l’intérêt visuel et tactile de tel ou tel équipement.
Il y a quelque chose qui tient au contrôle sous ces explorations.
Les sécrétions simulées produites avant, pendant et après l’acte s’évaporent dès que le contact est rompu avec le corps holographique qui les a générées. Il ne peut pas produire de phéromones et c’est quelque chose qui manque quand même à Garak – et pourtant il aime faire ça avec Bashir même sans elles ; même, la frustration qui l’accompagne et la concentration mentale supplémentaire nécessaire pour faire sans ont quelque chose de titillant, à leur propre manière.
Et ils ne peuvent pas imiter, même en grossière approximation, la fusion des Q par contact, mais ils peuvent toujours ajouter des jouets à leurs ébats !
L’hologramme jouit d’un excellent sens du goût et de l’odorat mais n’émet rien lui-même de ce type, et n’en tire pas grand plaisir non plus. Le sien vient plus du toucher et d’exploration approfondie.
Quand la surface de la peau ne suffit plus ils plongent plus profond encore. C’est, techniquement, de la vivisection consensuelle, négociée et contrôlée. Ah, encore le contrôle…
« Parce que tu es un excellent chirurgien mais même toi ne peux t’opérer toi-même en cas d’urgence ; s’il le fallait ça serait à moi de te rafistoler et pour le faire bien j’ai besoin d’en savoir un peu plus sur ton anatomie et ta physiologie. »
Alors Bashir ouvre et observe. Garak dirige et commente.
Quand ils ont fini leur chirurgie exploratoire du jour Bashir referme l’incision et y ajoute un bisou magique pour la forme.
Il n’a pas de salive, pas d’enzymes désinfectantes ou cicatrisantes et pas non plus de bactéries contaminantes mais l’effet placebo est toujours bon à prendre.