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Titre : Des amis et des amantes
Auteur :
ylg
Base : De cape et de crocs
Personnages/Couple : Don Lope de Villalobos y Sangrín, Armand de Maupertuis
Genre : doux-amer
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d’Alain Ayroles et Jean-Luc Masbou, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : « Comment ça n'était pas possible qu'une histoire d'amour fonctionne entre Lope et Armand » pour
wayya (anti-Valentin '08)
Nombre de mots : 160
*
« Vous êtes fou de vous enticher autant de cette donzelle, Don Armando. »
Lope de Villalobos y Sangrín fermait l'oreille aux tirades lyriques de son ami sur la beauté de « sa douce amie ». À force d'en entendre, il pourrait les réciter par cœur… n'eut-il été aussi rétif à la poésie et à la-dite donzelle.
Mais enfin, devait-il reconnaître, quoiqu'il puisse lui en vouloir, il savait bien qu'ils ne pourraient rester éternellement ensemble, Séléné ou non. Même si jamais Armand ne voyait en elle qu'une muse inspiratrice, sans penser plus loin, Lope tenait pour acquis que lui-même devrait bien finir un jour ou l'autre par se marier, pour entretenir le sang et le nom des Villalobos.
Ce jour-là, c'en serait fini de leurs aventures à deux. Car à moins d'être le Roy de France, l'on ne donne pas en sa maison une meilleure place à un compagnon d'armes, si estimé soit-il, qu'à sa propre épouse.
Auteur :
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Base : De cape et de crocs
Personnages/Couple : Don Lope de Villalobos y Sangrín, Armand de Maupertuis
Genre : doux-amer
Gradation : PG / K+
Disclaimer : propriété d’Alain Ayroles et Jean-Luc Masbou, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : « Comment ça n'était pas possible qu'une histoire d'amour fonctionne entre Lope et Armand » pour
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Nombre de mots : 160
« Vous êtes fou de vous enticher autant de cette donzelle, Don Armando. »
Lope de Villalobos y Sangrín fermait l'oreille aux tirades lyriques de son ami sur la beauté de « sa douce amie ». À force d'en entendre, il pourrait les réciter par cœur… n'eut-il été aussi rétif à la poésie et à la-dite donzelle.
Mais enfin, devait-il reconnaître, quoiqu'il puisse lui en vouloir, il savait bien qu'ils ne pourraient rester éternellement ensemble, Séléné ou non. Même si jamais Armand ne voyait en elle qu'une muse inspiratrice, sans penser plus loin, Lope tenait pour acquis que lui-même devrait bien finir un jour ou l'autre par se marier, pour entretenir le sang et le nom des Villalobos.
Ce jour-là, c'en serait fini de leurs aventures à deux. Car à moins d'être le Roy de France, l'on ne donne pas en sa maison une meilleure place à un compagnon d'armes, si estimé soit-il, qu'à sa propre épouse.