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Titre : Contes, légendes, histoires personnelles
Auteur :
malurette
Base : Gensōmaden Saiyūki
Personnages/Couple : Cho Hakkai & Sha Gojyō
Genre : léger angst
Gradation : PG~ / K++
Légalité : cette réinterprétation de la légende et de ses personnages est la propriété de Minekura Kazuya ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème : C#6, « conte de fées » d’après
7_liens
Continuité/Spoil éventuel : jusque dans Reload Blast
Nombre de mots : 303
**
La vie n’est pas un conte de fées, ou alors seulement pour les parties gore. Celle de Gojyō et Hakkai est à cent lieues de la vision idéalisée qu’en gardent les adultes qui ont grandi et ne les ont pas étudiés en détail et croient que des contes pour enfants sont des mondes magiques heureux sans danger, à l’image peut-être des quelques années idylliques passées avec Kanan.
Gonō n’a pas étudié la littérature, mais certaines légendes classiques faisaient partie de la culture générale nécessaire avant d’aborder la philosophie, et il sait que dans leurs versions non expurgées, elles commencent plus facilement avec une enfance martyre comme celle de Gojyō.
Quant à toute la suite…
Il est devenu lui-même une légende vraie, l’être maudit qui s’est souillé du sang d’un millier de yōkai. Il a rencontré un être légendaire né d’une union interdite. Il a vu utiliser plusieurs artefacts magiques, il a été témoin de plusieurs transformations étranges, et ça ne sera pas fini puisqu’ils se sont lancés dans une quête difficile, peut-être impossible à accomplir. Et il n’y aura pas de morale à toute cette histoire, ou alors complètement tordue.
La seule leçon que Hakkai a apprise jusqu’ici… est une confirmation de ce qu’il connaissait déjà : l’égoïsme des êtres vivants, nécessaire à la résilience de la vie elle-même. Rares sont les êtres qui acceptent de mourir avant leur heure. Encore plus rares sont ceux qui n’ont personne à qui ils tiennent et au nom desquels ils commettraient les pires folies.
Il le savait déjà en ce qui le concernait. C’est encore confirmé, pour lui comme pour bien d’autres.
Et le plus étonnant, c’est de se rendre compte qu’il continue à vivre, à désirer un futur… à aimer à nouveau et à faire des projets, comme s’il avait droit à une fin heureuse.
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Base : Gensōmaden Saiyūki
Personnages/Couple : Cho Hakkai & Sha Gojyō
Genre : léger angst
Gradation : PG~ / K++
Légalité : cette réinterprétation de la légende et de ses personnages est la propriété de Minekura Kazuya ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème : C#6, « conte de fées » d’après
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Continuité/Spoil éventuel : jusque dans Reload Blast
Nombre de mots : 303
La vie n’est pas un conte de fées, ou alors seulement pour les parties gore. Celle de Gojyō et Hakkai est à cent lieues de la vision idéalisée qu’en gardent les adultes qui ont grandi et ne les ont pas étudiés en détail et croient que des contes pour enfants sont des mondes magiques heureux sans danger, à l’image peut-être des quelques années idylliques passées avec Kanan.
Gonō n’a pas étudié la littérature, mais certaines légendes classiques faisaient partie de la culture générale nécessaire avant d’aborder la philosophie, et il sait que dans leurs versions non expurgées, elles commencent plus facilement avec une enfance martyre comme celle de Gojyō.
Quant à toute la suite…
Il est devenu lui-même une légende vraie, l’être maudit qui s’est souillé du sang d’un millier de yōkai. Il a rencontré un être légendaire né d’une union interdite. Il a vu utiliser plusieurs artefacts magiques, il a été témoin de plusieurs transformations étranges, et ça ne sera pas fini puisqu’ils se sont lancés dans une quête difficile, peut-être impossible à accomplir. Et il n’y aura pas de morale à toute cette histoire, ou alors complètement tordue.
La seule leçon que Hakkai a apprise jusqu’ici… est une confirmation de ce qu’il connaissait déjà : l’égoïsme des êtres vivants, nécessaire à la résilience de la vie elle-même. Rares sont les êtres qui acceptent de mourir avant leur heure. Encore plus rares sont ceux qui n’ont personne à qui ils tiennent et au nom desquels ils commettraient les pires folies.
Il le savait déjà en ce qui le concernait. C’est encore confirmé, pour lui comme pour bien d’autres.
Et le plus étonnant, c’est de se rendre compte qu’il continue à vivre, à désirer un futur… à aimer à nouveau et à faire des projets, comme s’il avait droit à une fin heureuse.