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glyficTitre : Toi et ta moustache...
Auteur :malurette
Base : LastMan, cartoon
Personnages : Dave McKenzie, Howard McKenzie, baby Siri, Richard Aldana, Joufflu
Genre :
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Balak, Vivès, Périn, etc ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème #19.15, "facial hair" pourfffc
Continuité/Spoil éventuel :
Nombre de mots : 5 x 100
*
Ça n'est pas juste que Dave soit obligé de laisser comme ça Howie à l'orphelinat, mais il n'y peut rien. Il le serre très fort dans ses bras, essayant de s'excuser de son impuissance.
Il le sent qui se raidit et résiste sous l'étreinte. D'une voix boudeuse, il accuse la moustache naissante qui lui frôle la tempe et le gratte. Dave essaie de ne pas s'en vexer et lui ébouriffe les cheveux pour la peine ; là encore il se dérobe et proteste. Il soupçonne qu'il commence à refuser en bloc les contacts corporels et les marques d'affection... mais pourquoi ?
*
Le bébé gazouille au creux de ses bras, tend sa menotte, et agrippe sa moustache de toutes ses petites forces. Le voilà coincé. Comme il la tient, ses propres mains sont prises : comment lui faire lâcher sans qu'elle tombe ? D'une voix étouffée, pour ne pas risquer de faire peur au bébé, la faire pleurer et tirer encore plus fort, il essaie de demander de l'aide à Howard.
Un sourire narquois lui échappe mais il prétend n'avoir rien entendu et le laisse se démerder seul avec sa petite guerrière en herbe qui tire de plus belle en riant aux éclats.
*
« Mais si on dit que les moustachus bouffent des culs, pondère Richard à voix haute, est-ce que ça ne chatouille pas genre un max ? ou ça fait partie du charme ? »
Dave réprime un soupir, rassemble sa patience, et prend son ton le plus léger pour rétorquer,
« Dis donc si c'est une proposition pour t'en rendre compte toi-même, formule-la plus clairement.
» Si non, poursuit-il, ferme ta petite gueule : la vie intime des gens ne te regarde pas. »
Touché : après un moment de terreur, Richard a la bonne grâce de réaliser et regretter la manque de respect derrière sa désinvolture.
*
Joufflu n'a aucune pudeur, chose rare dans ce monde de durs où on apprend à ne jamais montrer ses sentiments. Dès qu'il est heureux et/ou reconnaissant et qu'ils sont seul à seul, il enlace Dave, frotte sa joue à sa moustache, enfonce son visage dans son cou, comme un chaton géant qui chercherait sa mère.
Il lui jure fidélité et dévotion éternelles et quémande juste un câlin en échange de temps en temps.
Ses joues lisses comme de fesses de bébé ajoutent à son côté juvénile, mais bon... quand il a voulu imiter le moustache de Dave, c'était une catastrophe.
*
Sa barbe pousse lentement mais sûrement, quelques vilains poils clairsemés façon toundra brûlée et il n'a pas de quoi se raser ici. Marianne non plus : il a aperçu le duvet doré qui accroche la lumière du soleil sur ses jambes nues. Ça lui semble exotique et ça le rend tout chose et il voudrait paraître à son avantage pour elle.
Pour la première fois, Howard envie la moustache luxuriante de son frère.
Encore quelques jours et sa barbe sera un peu plus fournie, plus régulière, plus présentable ; en attendant Marianne, pas repoussée pour deux sous, l'explore d'un index curieux.
Auteur :
maluretteBase : LastMan, cartoon
Personnages : Dave McKenzie, Howard McKenzie, baby Siri, Richard Aldana, Joufflu
Genre :
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Balak, Vivès, Périn, etc ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Thème #19.15, "facial hair" pour
fffc Continuité/Spoil éventuel :
Nombre de mots : 5 x 100
Ça n'est pas juste que Dave soit obligé de laisser comme ça Howie à l'orphelinat, mais il n'y peut rien. Il le serre très fort dans ses bras, essayant de s'excuser de son impuissance.
Il le sent qui se raidit et résiste sous l'étreinte. D'une voix boudeuse, il accuse la moustache naissante qui lui frôle la tempe et le gratte. Dave essaie de ne pas s'en vexer et lui ébouriffe les cheveux pour la peine ; là encore il se dérobe et proteste. Il soupçonne qu'il commence à refuser en bloc les contacts corporels et les marques d'affection... mais pourquoi ?
Le bébé gazouille au creux de ses bras, tend sa menotte, et agrippe sa moustache de toutes ses petites forces. Le voilà coincé. Comme il la tient, ses propres mains sont prises : comment lui faire lâcher sans qu'elle tombe ? D'une voix étouffée, pour ne pas risquer de faire peur au bébé, la faire pleurer et tirer encore plus fort, il essaie de demander de l'aide à Howard.
Un sourire narquois lui échappe mais il prétend n'avoir rien entendu et le laisse se démerder seul avec sa petite guerrière en herbe qui tire de plus belle en riant aux éclats.
« Mais si on dit que les moustachus bouffent des culs, pondère Richard à voix haute, est-ce que ça ne chatouille pas genre un max ? ou ça fait partie du charme ? »
Dave réprime un soupir, rassemble sa patience, et prend son ton le plus léger pour rétorquer,
« Dis donc si c'est une proposition pour t'en rendre compte toi-même, formule-la plus clairement.
» Si non, poursuit-il, ferme ta petite gueule : la vie intime des gens ne te regarde pas. »
Touché : après un moment de terreur, Richard a la bonne grâce de réaliser et regretter la manque de respect derrière sa désinvolture.
Joufflu n'a aucune pudeur, chose rare dans ce monde de durs où on apprend à ne jamais montrer ses sentiments. Dès qu'il est heureux et/ou reconnaissant et qu'ils sont seul à seul, il enlace Dave, frotte sa joue à sa moustache, enfonce son visage dans son cou, comme un chaton géant qui chercherait sa mère.
Il lui jure fidélité et dévotion éternelles et quémande juste un câlin en échange de temps en temps.
Ses joues lisses comme de fesses de bébé ajoutent à son côté juvénile, mais bon... quand il a voulu imiter le moustache de Dave, c'était une catastrophe.
Sa barbe pousse lentement mais sûrement, quelques vilains poils clairsemés façon toundra brûlée et il n'a pas de quoi se raser ici. Marianne non plus : il a aperçu le duvet doré qui accroche la lumière du soleil sur ses jambes nues. Ça lui semble exotique et ça le rend tout chose et il voudrait paraître à son avantage pour elle.
Pour la première fois, Howard envie la moustache luxuriante de son frère.
Encore quelques jours et sa barbe sera un peu plus fournie, plus régulière, plus présentable ; en attendant Marianne, pas repoussée pour deux sous, l'explore d'un index curieux.
