![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png)
![[community profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/community.png)
Titre : Une épaule sur laquelle s'appuyer
Auteur :
malurette
Base : Avatar: the Last Airbender
Personnages/Couple : Aang/Katara
Genre : flangst?
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Bryke et le micro résumé est emprunté à Goldman, je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt #11, "Soft Shoulder" d'après
25streetsigns
Nombre de mots :
*
Alors que Sokka dit de sa sœur qu'elle est maternelle, Aang n'a pas le concept qui va avec ce mot.
Au Temple de l'Air occidental c'était des nonnes, aimantes et dévouées, qui s'occupaient des enfants, et les élevaient en commun. Il avait une nourrice préférée bien-aimée, mais aucune notion d'unité familiale telle que les autres nations tendent à former, encore moins de "mère".
Les qualités humaines qu'il reconnaît et admire chez Katara, en tant qu'instructrice, en tant qu'aidante, en tant qu'amoureuse enfin, continuent à l'émerveiller.
Il devient un homme dans un conteste très différent de celui auquel son enfance l'avait préparé, sa culture ayant radicalement changé.
Katara est sa personne préférée et il a le droit de l'aimer. Il est heureux de l'avoir à ses côtés, avec sa force sur laquelle compter et une épaule douce sur laquelle se reposer. Quant à élever des enfants... ils ont encore le temps de décider de quelle façon d'ici à ce qu'ils se présentent ?
Auteur :
![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png)
Base : Avatar: the Last Airbender
Personnages/Couple : Aang/Katara
Genre : flangst?
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Bryke et le micro résumé est emprunté à Goldman, je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt #11, "Soft Shoulder" d'après
![[livejournal.com profile]](https://www.dreamwidth.org/img/external/lj-userinfo.gif)
Nombre de mots :
Alors que Sokka dit de sa sœur qu'elle est maternelle, Aang n'a pas le concept qui va avec ce mot.
Au Temple de l'Air occidental c'était des nonnes, aimantes et dévouées, qui s'occupaient des enfants, et les élevaient en commun. Il avait une nourrice préférée bien-aimée, mais aucune notion d'unité familiale telle que les autres nations tendent à former, encore moins de "mère".
Les qualités humaines qu'il reconnaît et admire chez Katara, en tant qu'instructrice, en tant qu'aidante, en tant qu'amoureuse enfin, continuent à l'émerveiller.
Il devient un homme dans un conteste très différent de celui auquel son enfance l'avait préparé, sa culture ayant radicalement changé.
Katara est sa personne préférée et il a le droit de l'aimer. Il est heureux de l'avoir à ses côtés, avec sa force sur laquelle compter et une épaule douce sur laquelle se reposer. Quant à élever des enfants... ils ont encore le temps de décider de quelle façon d'ici à ce qu'ils se présentent ?