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glyficTitre : Ça tient plus de la foi
Auteur :malurette
Base : The Sea Beast (Le monstre des mers)
Personnage : Jacob, le docteur de bord, Maisie
Genre : gen
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Chris Williams, je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : journée mondiale des donneurs de sang (14 juin '23)
Nombre de mots : 250
*
Le partage de sang est une procédure acceptée sur les vaisseaux de chasse. Des blessures fréquentes et horrifiques entre les pinces ou les dents des monstres marins ont conduit à nombre d'innovations médicales. Mais celle-ci reste un dernier recours, plus du domaine de la foi que de la science. Elle échoue environ une fois sur quatre et personne ne peut prédire pourquoi. Mais ce qui est su et entendu, c'est la quantité de sang que peut perdre une personne avant que plus rien ne puisse la sauver, qu'elle mourra de toute façon.
Plutôt que de se résigner, il faut faire couler un peu de sang d'un volontaire sur ce que la victime a répandu ; s'ils se mélangent facilement et continuent à couler encore avant de sécher normalement alors ça se tente. Si ça coagule immédiatement ça ne veut pas dire que ça refermera la blessure ; bien au contraire - dans ce cas tout ce qui reste à faire c'est prier pour une mort rapide et sans douleur. Car lorsque le mélange échoue, que le mauvais sang entre dans le mauvais corps, la mort est affreuse et douloureuse.
Jacob a une chance incroyable ; par trois fois déjà il a donné de son sang à des matelots blessés et trois fois il les a sauvés. Les voilà désormais frères de sang, plus liés que par n'importe quel serment. La quatrième pourrait cependant bien être la mauvaise - mais Maisie Brumble n'est qu'une enfant : il refuse de la laisser mourir.
Auteur :
maluretteBase : The Sea Beast (Le monstre des mers)
Personnage : Jacob, le docteur de bord, Maisie
Genre : gen
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Chris Williams, je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : journée mondiale des donneurs de sang (14 juin '23)
Nombre de mots : 250
Le partage de sang est une procédure acceptée sur les vaisseaux de chasse. Des blessures fréquentes et horrifiques entre les pinces ou les dents des monstres marins ont conduit à nombre d'innovations médicales. Mais celle-ci reste un dernier recours, plus du domaine de la foi que de la science. Elle échoue environ une fois sur quatre et personne ne peut prédire pourquoi. Mais ce qui est su et entendu, c'est la quantité de sang que peut perdre une personne avant que plus rien ne puisse la sauver, qu'elle mourra de toute façon.
Plutôt que de se résigner, il faut faire couler un peu de sang d'un volontaire sur ce que la victime a répandu ; s'ils se mélangent facilement et continuent à couler encore avant de sécher normalement alors ça se tente. Si ça coagule immédiatement ça ne veut pas dire que ça refermera la blessure ; bien au contraire - dans ce cas tout ce qui reste à faire c'est prier pour une mort rapide et sans douleur. Car lorsque le mélange échoue, que le mauvais sang entre dans le mauvais corps, la mort est affreuse et douloureuse.
Jacob a une chance incroyable ; par trois fois déjà il a donné de son sang à des matelots blessés et trois fois il les a sauvés. Les voilà désormais frères de sang, plus liés que par n'importe quel serment. La quatrième pourrait cependant bien être la mauvaise - mais Maisie Brumble n'est qu'une enfant : il refuse de la laisser mourir.
