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glyficTitre : Cette femme est parfaite
Auteur :malurette
Base : Bergères Guerrières
Personnage : Jane
Genre : gen
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Jonathan Garnier & Amélie Fléchais ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : Day 14 - First loves pourhalfamoon (« premières amours »)
Nombre de mots : 350
***
Tout le monde sait au village que Jane, la première fille de Maria née avant qu’elle ne se marie, est le fruit d’une toquade de jeunesse avec un des hurluberlus du lac ; une demi-sorcière. Son pouvoir sur la lumière est considéré comme inoffensif et elle fait partie du village ; personne ne reproche à quiconque ses premiers égarements : c’est beau l’amour et il faut bien que jeunesse se passe.
Et depuis qu’elle a grandi Jane fait tourner bien des têtes. Avant, elle a dû éconduire gentiment la moitié des gars du village ; elle n’était pas intéressée. Après la conscription, ben… les filles esseulées sont devenues plus hardies. On ne dira pas qu’elle a brisé bien des cœurs : elle en a pris soin. Mais elle n’a jamais pris de compagne régulière. (On murmure parfois que Nora, peut-être…)
La rareté des gars disponibles ne rend pas les quelques qu’il reste automatiquement plus intéressants ; les filles ont le droit d’avoir des goûts, des exigences. Les premières toquades des jeunes apprenties se repartissent environ pour moitié sur Jane, bien sûr ; une bonne partie du reste sur Nora, bien sûr aussi ; et le reste parmi les garçons de leur âge. Une seule, une fois, sur Cuddleton – bien sûr elle n’a pas l’âge et bien sûr il n’est pas intéressé, mais juste rêver dans son coin ne fait de mal à personne et ça et forme les choses pour plus tard. Ses camarades l’ont quand même taquinée à n’en plus finir. (Mais pourquoi elle plus que d’autres, d’ailleurs ? Madame Nora, après tout, n’est pas disponible non plus. Elle est toujours, officiellement, mariée et non pas veuve et fait partie des plus acharnées à espérer revoir son époux un jour.)
Et même celle qui plus tard décidera ne vouloir ni compagne ni compagnon après tout a commencé par s’amouracher, d’une certaine manière, ou en tout cas le croire, de Jane, avant de comprendre que c’est qu’elle voulait être comme elle
(bon évidemment en devant renoncer à la magie ; on naît avec ou pas, ça ne s’acquiert pas comme ça)
et non pas avec elle.
C’est la vie !
Auteur :
maluretteBase : Bergères Guerrières
Personnage : Jane
Genre : gen
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Jonathan Garnier & Amélie Fléchais ; je ne cherche ni à tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : Day 14 - First loves pour
halfamoon (« premières amours »)Nombre de mots : 350
Tout le monde sait au village que Jane, la première fille de Maria née avant qu’elle ne se marie, est le fruit d’une toquade de jeunesse avec un des hurluberlus du lac ; une demi-sorcière. Son pouvoir sur la lumière est considéré comme inoffensif et elle fait partie du village ; personne ne reproche à quiconque ses premiers égarements : c’est beau l’amour et il faut bien que jeunesse se passe.
Et depuis qu’elle a grandi Jane fait tourner bien des têtes. Avant, elle a dû éconduire gentiment la moitié des gars du village ; elle n’était pas intéressée. Après la conscription, ben… les filles esseulées sont devenues plus hardies. On ne dira pas qu’elle a brisé bien des cœurs : elle en a pris soin. Mais elle n’a jamais pris de compagne régulière. (On murmure parfois que Nora, peut-être…)
La rareté des gars disponibles ne rend pas les quelques qu’il reste automatiquement plus intéressants ; les filles ont le droit d’avoir des goûts, des exigences. Les premières toquades des jeunes apprenties se repartissent environ pour moitié sur Jane, bien sûr ; une bonne partie du reste sur Nora, bien sûr aussi ; et le reste parmi les garçons de leur âge. Une seule, une fois, sur Cuddleton – bien sûr elle n’a pas l’âge et bien sûr il n’est pas intéressé, mais juste rêver dans son coin ne fait de mal à personne et ça et forme les choses pour plus tard. Ses camarades l’ont quand même taquinée à n’en plus finir. (Mais pourquoi elle plus que d’autres, d’ailleurs ? Madame Nora, après tout, n’est pas disponible non plus. Elle est toujours, officiellement, mariée et non pas veuve et fait partie des plus acharnées à espérer revoir son époux un jour.)
Et même celle qui plus tard décidera ne vouloir ni compagne ni compagnon après tout a commencé par s’amouracher, d’une certaine manière, ou en tout cas le croire, de Jane, avant de comprendre que c’est qu’elle voulait être comme elle
(bon évidemment en devant renoncer à la magie ; on naît avec ou pas, ça ne s’acquiert pas comme ça)
et non pas avec elle.
C’est la vie !
